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SPECIAL ELECTIONS : 5 candidats à Soissons, leur enjeu pour la ville

Le premier tour des élections municipales 2020 a lieu le dimanche 15 mars, suivi du potentiel second tour le 22 mars. A Soissons, cinq candidats se sont pour l’heure officiellement déclarés. Tout candidat a dans tous les cas jusqu’au 27 février pour se présenter et déposer sa liste de 35 noms pour composer le prochain conseil municipal de la cité du Vase.

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Pour rappel, les précédentes élections municipales de 2014 s’étaient jouées à trois à Soissons : avec le maire sortant Patrick Day, tête de liste de l’union de gauche, la liste divers droite menée par Alain Crémont et la liste Front National d’Emmanuel Chassagnoux. Trois au premier tour, et trois au second tour, car les trois candidats étaient au-dessus des 20 % après le premier vote. Alain Crémont et Patrick Day se retrouvaient tout particulièrement au coude-à-coude, séparés de seulement 0,5 % des voix. Alain Crémont a donc fait la différence au second tour, avec un taux de participation plus important de 52,7 à 57,3 %. Il a été élu avec 45,6 % des voix, devant Patrick Day (40,3 %) et Emmanuel Chassagnoux (14,1 %).
Six ans plus tard, quel est l’enjeu pour la ville de Soissons ? C’est ce que nous avons demandé à chacun des cinq candidats déclarés. Nous détaillerons ainsi les thématiques et les dossiers les plus importants dans nos prochaines éditions jusqu’à l’élection du futur maire de Soissons.

Philippe ABBAS

soutenu par La France Insoumise

  • 45 ans
  • Responsable du groupe soissonnais investi par La France Insoumise
  • Adjoint des cadres – responsable de la permanence d’accès aux soins à l’hôpital de Soissons
  • Déjà candidat aux élections législatives et candidat à une place non éligible sur la liste de Patrick Day aux Municipales 2014.

France Insoumise s’est scindée en deux groupes à Soissons. Philippe Abbas est le chef de file de l’un deux, mais il est aussi celui qui a obtenu le soutien officiel de La France Insoumise pour représenter une liste citoyenne aux élections municipales. Il confie avoir « travaillé pendant un an pour composer une liste d’union de gauche » avec les autres partis soissonnais, et il confirme avoir récemment « claqué la porte de l’union de gauche », faute d’accord sur son positionnement dans la liste. « Je n’ai jamais voulu la place de n° 1, précise-t-il, en revanche je n’accepte pas la 5e place. Elle ne correspond pas aux scores de notre mouvement en tant que première force de gauche aux dernières Législatives et deuxième force aux Européennes. Nous avons également prouvé ce que nous pouvons apporter en dynamique sur le terrain. »
De fait, Philippe Abbas part seul avec La France Insoumise dans la bataille, et il entend bien étendre sa propre liste à 35 noms. Et s’il n’arrivait pas à réunir les 35 noms avant le dépôt des listes du 27 février ? « Dans ce cas, j’annoncerais à ce moment le nom du candidat que je soutiendrais », dit-il.
Toutefois, Philippe Abbas n’en est pas là et il se prépare comme un candidat déclaré. Quel est l’enjeu du prochain mandat pour la ville de Soissons ? Il le voit dans un programme social et humain : « La priorité est de s’occuper de tous les habitants de la ville, et cela dans tous les quartiers de la ville. Sans augmenter les impôts, il faudra tout particulièrement leur amener une maison pluridisciplinaire de la santé publique, une unité Alzheimer publique et des transports gratuits ».

Alain CREMONT

maire sortant

  • 66 ans, marié, 4 enfants
  • Chef d’entreprise retraité
  • 1 mandat de maire de Soissons, vice-président de l’agglomération en charge du développement économique
  • En tête de la liste « Pour Soissons, gardons le cap »

Elu maire en 2014 en tête d’une liste divers droite, Alain Crémont se présente donc à sa propre succession en mars 2020. Il annonce « avoir parcouru beaucoup de chemin en 6 ans et tenu de nombreux engagements », mais il dit aussi savoir « que beaucoup reste à faire, c’est pourquoi nous restons mobilisés pour tenir la feuille de route que nous nous sommes fixée pour relever Soissons et améliorer la qualité de vie des Soissonnais, quel que soit leur quartier ».
Pour les 6 nouvelles années à venir, l’enjeu à Soissons se situe pour lui « dans le développement économique, l’emploi et l’attractivité du territoire. C’est une priorité car le développement économique crée des richesses, et de là en découle le pouvoir d’achat retrouvé des familles qui peuvent ainsi faire vivre les écoles, les associations et les équipements publics de la ville. Dans la même idée, il faut capitaliser sur le travail déjà réalisé en terme d’économie sociale et solidaire, tout en développant le tourisme et l’innovation. » Alain Crémont se dit par ailleurs « heureux de voir Soissons et GrandSoissons revenir dans les radars ».

Franck DELATTRE

soutenu par la République En Marche

  • 54 ans, marié, 3 enfants
  • Cadre dans une société HLM
  • Conseiller régional EELV (2004 – 2015), adjoint au maire de Soissons (2008 – 2014)/vice-président à l’agglomération de Soissons (2008 – 2014) en charge du logement, du plan énergie et climat, conseiller délégué à l’agglomération (2014 -2020) responsable de la zone d’habitat et du plan paysage.

Ancien conseiller régional Europe Ecologie Les Verts, premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste de l’Aisne, porte-parole de l’opposition de gauche pendant une bonne partie du mandat d’Alain Crémont, Franck Delattre a surpris son monde en annonçant sa candidature à la mairie de Soissons avec le soutien de la République En Marche et du député Marc Delatte. Cela lui a d’ailleurs valu son exclusion du Parti Socialiste axonais.
Qu’à cela ne tienne, le candidat part avec également dans ses rangs d’autres conseillers municipaux de l’opposition de gauche. Selon lui, l’enjeu à venir pour Soissons se trouve « dans un développement équilibré de la ville, du centre aux quartiers. » Il parle de développement équilibré aussi bien au sens économique : « Rouvrir les commerces préemptés par exemple, faire revenir les gens dans le centre-ville en enlevant les parcmètres pour les mettre en zones bleues et mettre les zones bleues en zones blanches. » Et développement équilibré dans les quartiers au sens social : « Amener tous les services dans les quartiers, que ce soit Pôle Emploi, la CAF, la police municipale jusqu’à des services décentralisés de la mairie »

Sébastien LANGE

union de gauche

  • 42 ans
  • Ouvrier dans la métallurgie à la société Capi
  • Membre du conseil départemental du PCF
  • Conseiller municipal d’opposition à Venizel (2014 -2020)

Les partis de gauche soissonnais (sans la France Insoumise) ont composé une liste d’union pour briguer la mairie de Soissons en choisissant Sébastien Lange, membre du Parti Communiste Français, comme tête de liste. Celle-ci est donc composée du PCF, du Parti Socialiste, d’Europe Ecologie Les Verts, du Parti Radical de Gauche, « et de citoyens syndiqués, issus du monde associatif et sportif » tient à préciser Sébastien Lange.
Quel enjeu rassemble la gauche pour l’avenir de Soissons ? « La santé, répond le candidat. C’est le constat que nous avons fait par rapport à la situation difficile de l’hôpital, l’appauvrissement de Soissons qui engorge les urgences et le déficit de médecins qui se creuse. Nous voulons construire un grand centre de santé sous régie municipale avec des spécialistes, des généralistes et pour lequel nous recruterons des jeunes médecins salariés. Tout l’intérêt est de faire face au désert médical et de faire en sorte que tout le monde puisse être soigné à Soissons. Dans cette même idée d’un service pour tous, ajoute-t-il, ce sont les transports urbains que nous ouvrirons à la gratuité. »

Alain REYT

rassemblement national

  • 62 ans
  • Attaché du groupe Rassemblement National au conseil départemental de l’Aisne

Arrivé en troisième position de la triangulaire du second tour des Municipales 2014 (14,1 %), le Front National (ex-RN) a donc siégé au conseil municipal du mandat en cours avec deux élus à la table. Deux élus certes, mais qui n’ont pas toujours brillé par leur présence, et qui ont surtout souvent changé d’identité après les démissions successives de plusieurs conseillers FN. Pour autant, le FN (puis le RN) était bel et bien présent dans les conseils, à la mairie de Soissons comme à l’agglomération, du moins en tant qu’observateurs dans le public et tout particulièrement ces derniers mois. Parmi eux : Alain Reyt, le candidat RN pour ces Municipales 2020.
Pour lui, « l’enjeu local à Soissons ne se démarque pas des enjeux nationaux. Quoi qu’en disent certains, le programme local découle aussi de l’idéologie politique choisie. » Cette volonté politique se mesurera principalement selon Alain Reyt sur l’économie : « La priorité est de faire venir des entreprises et de créer de l’emploi à Soissons. Comme au niveau national, la réalisation de ce projet pourra se faire avec un dispositif protectionniste. Nous sommes les derniers à croire à l’ouverture des frontières et à croire que la concurrence est loyale. L’enjeu est de protéger les emplois », dit-il.

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Les Trois Mousquetaires ouvrent le festival Branche & Ciné à Villers-Cotterêts

L’ONF (Office national des forêts) et ses partenaires organisent la 5e édition de Branche & Ciné du 29 juin au 8 juillet, le festival du cinéma projeté en plein air et en forêt la nuit tombée. C’est le tout récent « Les trois Mousquetaires, d’Artagnan » qui ouvrira les festivités lors de la cérémonie d’ouverture du 30 juin dans le parc du château de Villers-Cotterêts.

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Quel autre cadre exceptionnel que la forêt de Retz et Villers-Cotterêts, le terrain de jeu d’enfance et patrie d’Alexandre Dumas, ne pouvait mieux accueillir le lancement du festival Branche & Ciné avec la projection du film « Les Trois Mousquetaires, d’Artagnan » de Martin Bourboulon, sorti en salle le 5 avril 2023 ? Le réalisateur est d’ailleurs attendu en forêt de Retz à cette occasion (sous réserve). En attendant la projection à la tombée de la nuit en face de la future Cité internationale de la langue française au château de Villers-Cotterêts, des déambulations forestières, des activités ludiques et pédagogiques viendront animer la fin d’après-midi du 30 juin. Olivia Gay, ambassadrice du fonds ONF-Agir pour la forêt et artiste à la carrière internationale, viendra donner un récital de violoncelle accompagnée au piano. A travers son œuvre, l’artiste souhaite sensibiliser aux conséquences du réchauffement climatique sur les forêts. Pour compléter ce programme riche et varié, avant la projection, les spectateurs pourront assister à un spectacle d’escrime en hommage aux mousquetaires par une troupe d’escrime artistique et ancienne.

Du 29 juin au 8 juillet, le festival Branche & Ciné, ce sont 17 séances gratuites et en plein air dans quelques-unes des plus belles forêts des régions Hauts-de-France, Ile-de-France et Normandie. Une nouvelle expérience du cinéma s’ouvre tout simplement au public : les séances permettent de découvrir des films sur des écrans géants installés dans une clairière, sur un chemin ou un carrefour forestier, où sont disposés des transats. Un son dolby et images de qualité
« salle de cinéma » permettent aussi aux spectateurs de s’immerger dans les films, plongés dans les bruits et les odeurs de la forêt. Cette 5e édition prend même de la hauteur sur la thématique « perchée dans les arbres ». L’intégralité de la programmation, les lieux de projection et toutes les informations du festival sont disponibles sur www.branche-et-cine.onf.fr

Parallèlement, une programmation en salle réalisée en partenariat avec plusieurs cinémas complète le dispositif avec des séances scolaires, des séances “jeune public” et “grand public”. A l’inverse des projections plein air, les séances en salles sont payantes. Le cinéma Les Clubs de Villers-Cotterêts et le cinéma Jean Racine de la Ferté-Milon font partis du dispositif.

Vendredi 30 juin à 22h, au parc du Château de Villers-Cotterêts : Projection du film « Les Trois Mousquetaires, d’Artagnan » de Martin Bourboulon. Animations à partir de 18h. Gratuit, sous réservation en ligne sur www.branche-et-cine.onf.fr

Office National des Forêts

Retrouvez-nous sur :
www.branche-et-cine.onf.fr

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Le centenaire de l’ACS Rugby

1923 – 2023 : l’ACS Rugby a 100 ans. Pour toute la grande famille du rugby et de l’Amicale Club de Soissons, c’est l’année du centenaire. Fort de ses 300 licenciés, de son équipe 1re qui évolue aujourd’hui en Fédérale 3, de son école de rugby et de son équipe féminine les Ruby’s, le club compte bien célébrer l’événement à sa hauteur.

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La première équipe de l’ACS Rugby Soissons, saison 1923 – 1924.

En ouverture des festivités, Marc Lièvremont, ancien international, ancien sélectionneur de l’équipe de France et actuellement consultant sur Canal +, est venu donner « le coup d’envoi » le 9 mai au Mail Scène culturelle. Le point d’orgue est programmé ce samedi 20 mai avec l’organisation d’un tournoi international de rugby à 7, en présence notamment des 7 Fantastics, l’équipe des « nouveaux super-héros du 7 » dans le circuit Elite. 2 000 à 3 000 personnes sont attendues au stade Aimé Dufour. La journée se poursuivra par une soirée paëlla géante sur invitation. Mais l’ACS Rugby célèbre son centenaire tout au long de l’année et d’autres manifestations seront mises sur pied jusqu’en décembre. A venir : les tournois U10, cadets, juniors avec les équipes du Stade Français, du Racing et de Macy, ainsi que le tournoi des féminines et celui des anciens où deux grosses équipes surprises sont là aussi attendues. 

Autant d’événements qui démontrent la place importante de l’ACS et du rugby à Soissons. Son histoire débute dès 1908 avec la création de l’Amicale des anciens élèves de l’école du Centre. Le rugby du début du XXe siècle à Soissons est aussi et avant tout militaire, il était pratiqué par les jeunes hommes venant de toute la France, et bien sûr du sud-ouest, pour faire leur service. Les rencontres avaient alors lieu sur ce qu’on appelait la Plaine Maupas, aujourd’hui le quartier de Presles. « Inutile de dire que le jeu était à cette époque très violent, il se finissait souvent en bagarres », témoignent les mémoires du club que sont Dany Marache, à l’ACS depuis 1962 et président depuis 6 ans, ou encore Jean-Luc Ferary, fils de Maurice et petit-fils de Marcel Ferary, membres incontournables du rugby et du sport en général à Soissons. Ils rappellent aussi un fait marquant de la période troublée de la Première Guerre mondiale : « Un match a tout simplement dû être arrêté net alors que le terrain se faisait bombarder. » 

Une des premières équipes de rugby à Soissons.

A l’Après-guerre, c’est la Reconstruction et c’est la création de l’ACS Rugby en 1923. Les pères fondateurs : Marcel Ferary, Edouard Robinet, Louis Sautreau et Aimé Dufour, le premier président de l’ACS, il le restera jusqu’en 1930. Son destin fut bien plus tragique. Il a été arrêté le 25 novembre 1941 par la Gestapo, condamné aux travaux forcés, il y décéda le 25 janvier 1944. Le nom d’Aimé Dufour reste bien sûr associé à l’actuel stade du club, rue du Paradis. Il fut construit au début des années 60, « construit à l’ancienne par les anciens eux-mêmes, s’amusent les anciens d’aujourd’hui. L’éclairage avait été monté par les joueurs de l’ex-école de métiers EDF de Cuffies, la buvette n’avait pas été oubliée bien sûr et il y avait seulement quatre pommeaux de douche. La cohabitation en fin de match sous les douches n’a pas toujours été simple entre locaux et visiteurs. Pour ce qui était de l’entretien du terrain ? On envoyait les moutons sur le pré pour tondre la pelouse. Après leur passage, il fallait évidemment slalomer entre les crottes pour éviter de tomber dedans, ça ne marchait pas à tous les coups. » 

Thierry Cléda issu de la formation soissonnaise peut faire la fierté de l’ACS, il ira jusqu’en équipe de France A. Il fait ici l’objet d’un portrait dans l’Union en 1996.

Les infrastructures se sont développées petit à petit, mais cela n’a pas empêché l’ACS Rugby de Soissons de se distinguer sur le plan sportif. Dans les années 50, le club a même évolué au niveau Excellence qui correspond maintenant à la Pro D2, le très haut niveau en somme. 

Jean-Luc Ferary se souvient de « ces grandes années » comme il les qualifie : « Nous étions plusieurs à intégrer l’équipe première dès l’âge de 16 ans lors de la saison 1957 – 1958. A ce moment-là, ce sont toutes les mamans qui ont failli mettre leur veto pour ne pas voir leurs jeunes fils s’empoigner avec les plus aguerris. » 

La montée de Soissons en Fédérale 2 mise à l’honneur dans la presse en septembre 2004. La saison 2004 – 2005 de l’ACS en Fédérale 2 s’est aussi révélée très compliquée, comme en témoigne ce compte-rendu « Soissons atomisé » après un très dur 74 – 0 à Villefranche.

L’autre grand fait d’armes au cours des années sportives plus récentes est la montée en Fédérale 2 en 2004. Les Soissonnais y sont restés une saison, mais une saison qui s’est révélée très compliquée comme en témoignent certains articles de presse conservés dans les archives du club. De très bons joueurs sont en même temps sortis de l’école de rugby soissonnaise pour atteindre l’élite nationale et internationale. A commencer par Alain Dusang qui a été le premier joueur soissonnais à être recruté par un grand club, en l’occurrence Vichy, ce qui l’a amené à être sélectionné dans la B de l’équipe de France. « Un pur produit de Saint-Crépin, confirme le président Marache, c’est d’ailleurs un quartier qui a engendré beaucoup de joueurs de l’ACS. » Et si l’on parle du plus haut niveau, Thierry Cléda en est la référence à Soissons : originaire de Vic-sur-Aisne, il ensuite passé par Biarritz et Pau pour arriver en équipe de France A. Enfin pour ne citer qu’eux : Olivier Beaudon s’est distingué à Grenoble dans les années 90 et Sofiane Chellat est allé jusqu’au titre de champion de France de Top 14 avec le Stade Français en 2015. De retour au club en tant que superviseur général, il est aussi joueur international algérien. 

L’équipe première de cette dernière saison 2022 – 2023 maintient le haut niveau de la Fédérale 3 à Soissons. Comme la réserve, elle a terminé très fort à la 6e place, « à un match prêt de la qualification pour jouer la montée en Fédérale 2 », commente Dany Marache. Celui-ci est d’autant plus fier de ses joueurs que l’équipe est composée à presque 100 % de joueurs issus de l’école de rugby de l’ACS, si ce n’est un Laonnois qui vient compléter le XV soissonnais. 100 ans plus tard, le rugby a plus que jamais sa place dans la cité du Vase.

Le tableau historique de l’ACS Rugby 

Ce tableau emblématique et humoristique du rugby à Soissons trône en bonne place dans le club-house. La peinture date de 1954 : 

« Au premier plan, nous voyons un chien s’emparant du ballon, le joueur de la gente canine, répondait au nom de « drop » et son propriétaire se nommait André Veniere, joueur entraîneur, issu du S.C.U.F. En deuxième position vers la droite, vous apercevez le capitaine de l’équipe de l’ACS, perdant son képi et dans le même temps sa chaussure. L’artiste semblerait avoir choisi de faire jouer le capitaine de l’équipe du moment, Aubuchou, demi de mêlée. Celui-ci issu du stade bordelais était 2e ligne. Tenant dans la main le drapeau de touche, il s’agit de Maurice Ferary, derrière lui sur le côté Raymond Villa, ensuite légèrement avancé le docteur Marcel Ferary, père de Maurice, qui de surprise lâche la boîte à pharmacie. C’est Lorente qui a la main sur l’épaule du Président. Le Secrétaire, une serviette sous le bras, était notre ami Georges Bergeret et à ses côtés le fidèle Trésorier Tranoy. Dans la tribune au premier plan, Besly l’ancien président, et un spectateur enthousiaste, les autres dirigeants ou les anciens de l’ACS sont supposés regarder le match assis dans celle-ci. » 

Ce tableau emblématique et humoristique du rugby à Soissons trône en bonne place dans le club-house. La peinture date de 1954.

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L’Actu Immo N°4 by ORPI

Vendre votre bien classé F ou G ? L’audit énergétique est obligatoire

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Sachez que depuis le 1er avril 2023, si vous souhaitez vendre votre logement, vous devrez obligatoirement faire réaliser un audit énergétique si ce dernier est considéré comme une «passoire thermique» (classé F ou G au DPE) et en monoproprieté.

Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) devra être complété par un audit énergétique annexé au contrat de vente et présenté à l’acquéreur dès la première visite.

Cet audit a pour but de prévenir les acquéreurs des différents travaux nécessaires à effectuer pour atteindre une classe énergétique inférieure et ainsi pouvoir le louer sans interdiction dans le cadre d’un investissement locatif.

Vous pouvez également bénéficier d’aides et/ou de subventions spécifiques à cet effet auprès de différents organismes.

Nous nous tenons bien sûr à votre disposition pour toute précision utile à ce sujet.

Vous avez des questions ?
nous sommes là pour vous accompagner.

Agence Na & Co Immobilier

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57 avenue de Paris
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